数学、理系、英語の入試、受験対策は川越市駅前の個別学習塾アプトへご相談ください。
体験講習も行っています。 ≪ Drague, rencontres et nuits torrides… Afin de ces celibataires, avec le Covid, c’est non merci ! ≫

塾長ブログ

Drague, rencontres et nuits torrides… Afin de ces celibataires, avec le Covid, c’est non merci !

Drague, rencontres et nuits torrides… Afin de ces celibataires, avec le Covid, c’est non merci !

Ils annulent a la derniere minute un date Tinder par peur de se faire contaminer, flippent a l’idee de devoir faire la conversation, ainsi, frolent la syncope au moment de s’extraire de leur plaid pour aller boire un latte avec un match Bumble.

Depuis certains mois, l’idee d’un rendez-vous galant ennuie a mourir, voire revulse, ces celibataires jadis habitues des applications de rencontre. Apres plus d’un an de confinement ainsi que vie sociale agonisante, c’est le FODA, pour fear of dating again (la peur de faire de nouveau des rencontres amoureuses) qui les frappe. Ils nous racontent.

« Qu’est-ce que je fous ici ? »

Le premier confinement, Adele*, 20 annees, etudiante dans la mode, l’a passe a chatter dans Tinder, Afin de passer moyen et deconnecter d’un quotidien entre quatre cloisons. Quand l’ete arrive, elle enchaine les dates et nos swipes, accoudee a un comptoir avec ses copines, pouffant a l’idee de recolter environ numero qu’elles. « J’avais le sentiment de revivre, de maniere legere et libre, sans me prendre la tete, de renouer avec un chacun », se souvient-elle. Un confinement apri?s, une fois la frenesie de l’ete passee, Adele a supprime toutes ses applications pour deux mois d’hibernation. « C’est simple, de septembre a mars, j’etais dans un cocon. » Alors qu’une cherie lui raconte qu’elle n’a couche avec personne depuis un an et n’a aucune intention que i§a change, Adele realise dans un fou rire que c’est pareil i  sa place. « L’idee meme de me retrouver nue avec un mec me revulse, cela me semble lunaire ! » En interview, sa voix monte dans les aigus comme elle martele les mots qui semblent lui faire particulierement horreur : « Je ne me vois nullement vraiment approcher votre homme, etre NUE, chez LUI, dans le LIT ! Mais qu’est-ce-que et cela se passe ? »

En cause : chute des habitudes et repli sur soi, qui touchent de nombreux chefs d’entreprise depuis le commencement une pandemie.

La semaine derniere, avec l’annonce d’la reouverture prochaine des terrasses, la jeune fille essaie une timide incursion sur Tinder. Force est de constater que le c?ur n’y est jamais, elle n’a de cesse de scroller a gauche. Jusqu’a votre qu’elle tombe via Tom*, Franco-Americain de 25 annees. Sur le papier, l’homme de ses reves. Adele s’fait violence concernant le retrouver devant son restaurant mexicain prefere, ainsi, arrive meme en retard a force d’enfiler les tenues devant une glace. « Et beaucoup, c’etait horrible, l’angoisse ! Il est excellent, doue, sympa, le soleil brillait i  propos des quais de Seine… Mais on n’avait que dalle a se reconnai®tre, c’etait ultra genant. On a parle vaguement du Covid et du vaccin… C’etait tres impersonnel, tres conversation Uber, bref, chiant a pleurer. J’avais la sensation de perdre votre entretien d’embauche. Ca n’a dure qu’une heure, ainsi, bien du long je n’arretais pas de me dire : mais qu’est-ce que je fous la ? » Quand ils se separent apres un au revoir maladroit, c’est avec soulagement.

Ce malaise des rencontres amoureuses, Charlotte*, 33 ans, consultante qui annule rendez-vous sur rendez-vous, le connait beaucoup. Comme celle-ci a commande l’habitude de teletravailler a mi-temps dans le sud-ouest chez sa tante, elle redoute d’attraper le virus ainsi que la contaminer. Calfeutree seule chez elle depuis des mois, les gestes une vie de la totalite des jours lui semblent Sans compter que et puis fatigants. « C’est deja galere d’aller en date, mais la vu le contexte, c’est carrement sous-sexy ! », affirme Charlotte qui ne supporte environ mettre les pieds au travail ainsi que voir de l’univers.

Et ce n’est pas le rendez-vous avec Arthur* qui l’a fera remplacer d’avis. Le profil etait plutot convaincant, mais c’est la douche froide durant la retrouve. « J’ai retourne le RER concernant le retrouver a Meudon Afin de une balade sous votre neige… On marchait cote a cote, forcement je ne le voyais que de profil, ainsi, avec le masque. Quand il l’a retire au bout de 2 heures, J’me suis rendue compte qu’il ne ressemblait gui?re du tout a sa photo… » Deja refroidie, Charlotte dechante au fil des semaines alors qu’Arthur, qui cumule nos galeres, s’epanche encore qui plus est : « Il me racontait tout, comme si j’etais un vieux pote de college : le chomage, ses problemes d’oseille, ses soucis intestinaux… Je comprends, on reste tous quelque peu a bout ces jours-ci, mais franchement, je n’avais pas envie de porter ca ! »

The Walking Dates, ou J’ai terreur de devoir aller a toutes les toilettes

Outre la peur des variants ainsi que la flemme de s’extraire de l’ensemble de ses leggings en pilou, il convient composer avec la nouvelle topographie des rues. « Cela n’y a nulle part ou aller, rien a faire », deplore Alex*, 27 ans, qui vit a Berlin chez ses parents. Avec son soir date, y tourne http://besthookupwebsites.org/fr/jpeoplemeet-review/ en radis en ville jusqu’a ce qu’une pluie torrentielle les contraigne a tomber sur refuge dans la galerie marchande souterraine une gare… « Ca sentait le kebab et la saucisse grillee, bref, rien de tres romantique, raconte le petit homme. Comme on ne est en mesure de gui?re aller boire un verre, on aimerait bien pouvoir se poser via 1 canape au chaud et se Realiser 1 the, Realiser pipi si on a besoin. Sauf qu’inviter quelqu’un directement chez soi, i§a va faire flipper et mettre mal a l’aise. »

2022年02月17日

▲ PAGE TOP